El Djala : l’exil. Paroles de Habib Guerroumi, musique de H. Guerroumi et Christian Vasseur, adaptation de Djuwel.
"La douleur de l’exil est inexprimable.
Je l’enferme dans mon coeur et la garde.
L’exil est une blessure qui me tenaille.
Mes vrais amis secourez moi.
Pas un seul ne m’a secouru ni ne m’a aidé.
Qu’importe, j’aurais accepté seulement ceux que j’aime.
Mes vrais amis secourez moi.
Ah, s’ils avaient compris mes souffrances,
leur seule présence m’aurait suffi.
vrais amis secourez moi.
Est-ce que le temps m’offrira l’occasion de vivre ce qui m’est dû ?
Mes vrais amis où êtes-vous ?
Insiraf dans le mode Djarka (domaine arabo-andalou). Prélude improvisé, paroles de Habib Guerroumi.
"La rencontre de mon bien-aimé est repos, intimité et harmonie. Si j’avais pu le voir un seul instant, je m’en serais réjoui des semaines entièresn je me consacrerais à lui, il me suffirait pour l’éternité ; car le bien-aimé est protection, chaleur et affection."